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  • Est-ce que Lazar ment ?


     

    Lazar emploie-t-il des clichés sur les OVNIS pour se faire un peu de publicité ou peut-on croire ce qu'il raconte ? Voici son profil : il est né le 26 janvier 1959, à Coral Gables, Floride et vit à Las Vegas. Mécanicien talentueux, il a construit sa propre voiture à réaction ( 560 km/h en vitesse de pointe ), ainsi qu'un véhicule propulsé à l'hydrogène. Il est arrêté en avril 1990, pour participation à la gérance d'une maison close de Las Vegas. Condamné à six mois de mise à l'épreuve et 150 h de travaux d'intérêt général. Et tenait en 2000 un laboratoire photo et répare du matériel de détection d'irradiation. Toutefois, plusieurs éléments viennent corroborer ses affirmations. D'après George Knapp, qui l'interviewa à la télévision, plus d'une douzaine de personnes se sont depuis manifestées pour compléter et étayer ses propos. Knapp a ainsi pu filmer le témoignage d'un homme ayant dirigé plusieurs programmes militaires de grandes ampleur à la base Nellis. Ce témoin prétend que les autorités disposent d'extraterrestres et de leur technologie depuis les années 50. Hélas, cette bande vidéo ne pourra être visionnée qu'après la mort de cet homme. Aucun des autres témoins n'accepte de se montrer au jour car ils craignent des représailles.
     
     
    Intimidations et menaces de mort.

    Un journaliste d'une autre chaîne de télévision qui souhaitait enquêter sur la Zone 51 se heurta aux mêmes réticences. Un ingénieur électricien qui affirmait avoir vu une soucoupe volante se déclara prêt à participer à une émission télévisée. Mais il se ravisa après avoir constaté la présence d'individus, vêtus de sombre, stationnant nuit et jour dans des voitures près de son domicile. Un autre témoin reçut des menaces directes. On lui dit : « Nous savons que vous voyagez beaucoup, et ce serait tellement dommage que vous ou votre famille soyez victime d'un accident ». Si l'on observe Lazar dans ces prestations télévisuelles, il apparaît comme une personne posée, calme et sans prétentions. Il ne s'avance pas sur des domaines qui ne lui sont pas familier. Il a de plus toujours avancé la même version des faits ; chose difficile et rare en matière de faux témoignages. Toutefois, sa crédibilité peut être mise en doute car il soutient être titulaire de diplômes délivrés par deux universités américaines prestigieuses ( MIT et CalTech ), sans jamais en avoir apporté la preuve. La seule chose qui a été prouvée est qu'il est doué de toute évidence en matière d'explosifs et de systèmes de propulsions à réaction, et a travaillé aussi pour Fairchilds Electronics en Californie et à Los Alamos... mais comme technicien et non comme scientifique, ainsi qu'il le prétend. Par ailleurs, il a connu une faillite commerciale et a été condamné à des travaux d'intérêt général pour avoir participé à la gérance d'une maison close ( bordel ). On peut également s'interroger sur les motivations du personnage. Selon lui, il a décidé de parler parce que garder le secret aurait été une insulte à la science et aux citoyens américains. Ces nobles intentions ne l'ont pas empêché de vendre ses dessins d'engins extraterrestres sous forme de maquettes, et d'en céder les droits pour un film racontant son aventure. Mais gagner de l'argent n'est pas un crime, surtout aux Etats-Unis, et les quelques taches sur son passé ne signifient pas qu'il soit foncièrement malhonnête. Quoi qu'il en soit, un doute subsiste sur la véracité de certains de ses propos. Lazar affirme par exemple que, de 1982 à 1984, il a travaillé au Laboratoire National de Los Alamos au Nouveau-Mexique, dans le cadre de l'Initiative de Défense Stratégique « Guerre des Etoiles ». Le journaliste George Knapp enquêta à ce sujet, et s'aperçut que le nom de Lazar figurait bien à l'époque sur l'annuaire du laboratoire de Los Alamos. Mais le fait a été catégoriquement démenti par les autorités militaires : selon elles, il n'y aurait aucune trace d'un tel engagement. En revanche, le gouvernement n'a jamais nié que Lazar avait travaillé à la Zone 51, ce qui est confirmé par ses déclarations d'impôts.
     
     
    Vous n'êtes pas les bienvenues !

    Il n'est pas bon de transgresser l'interdiction de survol de la base, raconte Jim Goodall, spécialiste aussi en aviation militaire et rapporte la mésaventure survenu à un pilote participant à un exercice aérien : « Un pilote de F-105 qui venait de griller un moteur décida que, plutôt que de s'éjecter d'un avion de deux millions et demi de dollars, mieux valait se poser sur la piste de Groom Lake. Avant même que son avion se soit arrêté, il fut entouré par des véhicules et des gardes prêts à faire feu. Ils le firent monter dans un fourgon sans fenêtre, lui mirent un sac sur la tête, le conduisirent dans un bâtiment, l'enfermèrent dedans et lui infligèrent un interrogatoire et un debriefing de cinq ou six heures. Une fois qu'ils furent certains que, il n'avait rien vu du tout et qu'ils lui avaient collé la peur de sa vie au « pauvre fils de pute ( d'après ces dires...), ils le remirent dans un autre fourgon avec un sac sur la tête et le conduisirent par le Test Site (...) vers l'US 95 et Nellis, où il subit interrogatoires et debriefings pendant trois jours ». Le pilote du F-105 avait par mégarde posé le pied dans « le trou noir » de l'US Air Force, pour reprendre les mots du journaliste.Dans ces Black Programs, l'on sait qu'ils incluent des essais d'avions-sondes ( drône ), sans pilotes dont la vitesse et la maniabilité pourraient facilement faire croire qu'il s'agit de soucoupes volantes. Cette probabilité n'explique pas tout. Goodall fait état d'engins silencieux et incroyablement rapides ( l'un d'eux, suivi par le Federal Aviation Administration Center, filait à 16000 km/h, soit environ 13 fois la vitesse du son ) et s'interroge légitimement sur la compatibilité entre de telles vitesses et la technologie humaine. Goodall interviewa un ancien ouvrier de chez Lockheed qui affirma : « Nous possédons des engins dans le désert du Nevada qui feraient baver d'envie Georges Lucas ( Star Wars ). » Lazar indique que ceux qui travaillent au sein du S4 portent des badges portant le nom de code « Maj ». S'agit-il du MAJESTIC 12, le groupe ultra-secret de recherche sur les OVNIS créé par le président des Etats-Unis en 1947 ?

     


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  • A l'interieur de la zone S4.


    Selon Bob Lazar, le S4 était un vaste complexe souterrain occupant la surface d'une chaîne de montagnes entière. Au début, il pensait travailler sur une technologie humaine très avancée. Mais lorsqu'il pénétra à l'intérieur de l'un des disques, il acquit la conviction que tout cela venait d'un autre monde car ni la forme, ni les dimensions ne semblaient provenir de la main de l'homme. « Il n'y a pas de joint physique, pas de soudure, ni boulons, ni rivets apparents » dit Lazar. « Tout objet présente une sorte de bord arrondi, comme s'il avait été moulé dans la cire, chauffé et ensuite refroidi ». Le disque sur lequel Lazar travailla était nommé le « Modèle Sport » en raison de sa ligne gracieuse car il semblait être fait d'une seule pièce. Poursuivant ses descriptions, il fait état de hublots, de voûtes et de tout petits sièges hauts de 30 cm. Il se découpait intérieurement en trois niveaux. Celui du bas contenait le système de propulsion, celui du milieu semblait être réservé aux passagers et celui du haut était sans doute une sorte de cockpit de pilotage. Le système de propulsion était bien sûr ce qui intéressait le plus les chercheurs de la S4.Il reposait sur le principe de l'antigravitation et l'énergie nécessaire pour le faire fonctionner provenait d'un minerai orangé inconnu sur Terre, l'Elément 115. La fantastique énergie dégagée permettait aux trois « amplificateurs » du vaisseau de distordre le continuum espace-temps et de permettre donc les voyages interstellaires. Dans ce cas, les 3 amplificateurs étaient employés en configuration « Delta ». Par contre, lorsqu'il devait se déplacer dans un environnement planétaire, le disque n'employait plus qu'un amplificateur et devenait sensible à ce qui l'entourait et susceptible d'être abattu par des armes terrestres. Les pilotes de ces disques étaient surnommés les « Gamins » en raison de leur petite taille et étaient, si l'on peut dire, des « Gris » typiques, c'est-à-dire avec une tête disproportionnées, de grands yeux sombres en amande, un nez et une bouche minuscule et un corps plutôt fluet. Quant à ce qui avait été identifié comme l'unité de propulsion, il s'agissait d'un objet de la taille d'un ballon de rugby, capable de produire un champ anti-gravité traversant l'engin par une tuyère verticale.La documentation que Lazar put consulter par ailleurs confirma ses soupçons. Il y trouva sur le site une masse étonnante d'informations relatives aux OVNIS, y compris les images d'une autopsie de petits êtres grisâtres et chauves. D'après les documents compulsés par Lazar, ces extraterrestres étaient répertoriés comme venant du système stellaire Zeta Reticuli, un système binaire situé à 37 années lumières de la Terre et visible seulement de l'hémisphère sud ( voir dans la rubrique : Les RR4, affaire des époux Hill ). Il y était également question d'un incident survenu en 1979, au cours duquel des extraterrestres avaient tué des gardes de la sécurité et un scientifique de la base. A la lumière de ces éléments, il ne faisait plus aucun doute pour lui qu'il s'agissait là « d'engins extraterrestres, fabriqués par une intelligence extraterrestre, avec des matériaux
    extraterrestres». Lazar n'affirme pas catégoriquement avoir vu des extraterrestres au S4. Mais il assista en revanche à une scène étrange. Passant un jour devant une pièce dont la porte était ouverte, il vit deux hommes en blouse blanche « regardant vers le bas et s'adressant à un petit être aux longs bras... Ce fut une vision brève. Je n'ai aucune idée de ce que cela pouvait être », dit-il. Alors existe-t-il une Zone S4 ? A première vue, l'aspect inhabité des abords de Papoose Lake milite contre cette idée, mais on peut cependant imaginer des installations souterraines protégées par la stricte interdiction d'accès en vigueur à cet endroit. L'appellation S4 pose aussi problème car elle serait une sorte de « doublon » peu probable du « Site 4 », une zone d'essais radar secrète mais connue situé entre Groom Lake et le Tonopah Test Site. Autre témoignage, celui d'un archéologue du nom de Jerry Freeman, qui s'était infiltré en avril 1997 jusqu'aux abords de Papoose Lake pour vérifier un détail historique de la Conquête de l'Ouest, y aurait aperçu des lumières de véhicules et une autre lumière pouvant provenir d'une porte de hangar qu'on ouvre et qu'on referme...

     

     


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